Sport d’été : faire face à la chaleur

L’été est la saison idéale pour faire du sport et aussi pour les barbecues. Cependant en période de forte chaleur, faire du sport peut s’avérer difficile voire risqué. Malgré tout, beaucoup de sportifs courageux ne se soucient pas de la forte chaleur et décident quand même de continuer à pratiquer leur sport. Il est donc primordial de prendre connaissance des précautions à prendre pour limiter les risques liés à la chaleur comme l’insolation ou la déshydratation.

Bien choisir son heure

En été il arrive que la température atteigne les 30 degrés à l’ombre voire plus. Faire du sport dans ces conditions n’est vraiment pas recommandé.  Si cela est inévitable alors il est conseillé de choisir les heures les moins chaudes de la journée. Pour ceux qui sont libres le matin, il serait plus judicieux de ne faire du sport au-delà de 10 heures. Certaines personnes ne seront peut-être pas libres le matin alors faire du sport le soir est aussi possible par exemple à partir de 18h30. Après le sport, pourquoi ne pas terminer la soirée avec un bon barbecue américain pour se faire plaisir ?

Les précautions contre la chaleur

Pour ceux qui décident de faire du sport en journée, bien se nourrir au préalable est très important. Il ne faut pas se priver d’un bon barbecue pour un apport optimal en protéine. Les meilleurs barbecues se trouve d’ailleurs à cette adresse https://vive-le-barbecue.fr/barbecue-americain-une-tendance-qui-a-du-gout/. En outre, le mieux pour le confort serait de porter des vêtements légers et fins. Il faudrait également prévoir de la crème solaire pour les parties du corps non couvertes.

barbecue-americain
Barbecue americain

Le port d’une casquette ou d’un chapeau est toujours recommandé. Cela évite les risques de coups de chaleur, les migraines et les saignements de nez pour les personnes sensibles. Il ne faut également pas oublier de bien s’hydrater car il est évident que les pertes hydriques seront plus importantes à cause de la chaleur. L’idéal est toujours de boire avant d’avoir soif mais sans faire d’excès bien sûr.

Des sports d’intérieurs

Il existe plusieurs activités sportives qui peuvent être pratiquées en salle donc à l’abri du soleil. Un bon exemple de sports individuels c’est la natation ou le tennis. Les sports collectifs sont également nombreux à commencer par le volley, le handball et même le foot. Il est néanmoins conseillé d’opter pour une salle bien aérée ou climatisée. En effet en période d’été, même sans exposition au soleil, la chaleur peut parfois devenir très étouffante.

Des efforts mesurés

La chaleur influe inévitablement sur les performances des sportifs. Les sportifs amateurs ne devraient pas se soucier d’être performants. L’essentiel c’est de prendre du plaisir à pratiquer son sport et non de performer au maximum. Il ne faut donc jamais faire d’excès. L’essentiel est de savoir écouter son corps. Il faut ainsi prévoir des pauses si besoin et boire de l’eau à chaque fois qu’il le faut. Tout cela limiterait les risques de déshydratation, d’essoufflement ou de crampes.

Les exercices physiques en saison de canicule sont très risqués car la forte chaleur sollicite encore plus le corps. Seules les personnes avec une très bonne condition physique devraient donc faire du sport durant cette période. Tous ceux qui ont une maladie telle que l’asthme ou bien qui sont en surpoids devraient s’abstenir. Mieux vaut se faire plaisir autrement comme préparer de la viande grillée à l’ombre avec un bon barbecue de vive-le-barbecue.fr par exemple.

Reconnaitre les signes de coup de chaleur

En été, personne n’est à l’abri de coup de chaleur. Même chez un professionnel, cela peut arriver. Il est donc primordial de savoir identifier les signes pour s’arrêter au bon moment. Les symptômes les plus courants sont les nausées, les maux de têtes, les pertes d’équilibre et les troubles de la vue. Dans le cas où l’un de ces symptômes se manifeste chez une personne, il faudrait tout de suite la mettre dans un endroit frais, ventiler son corps ou l’asperger d’eau.

Paradigmes et recherche de l’action sociale

Le paradigme est une représentation du monde. On peut également le considérer comme une manière de voir les choses, un modèle cohérent de vision du monde qui repose sur une base définie. Par définition, c’est un ensemble de croyances et accords partagés par les scientifiques et les philosophes. Bien sûr, les paradigmes changent dans le temps, en fonction de l’évolution des connaissances. Sur ce, ils œuvrent toujours pour la recherche d’action sociale.

Le paradigme holiste et le paradigme atomistique

Il existe différents types de paradigmes. Parmi cela, le paradigme holiste et le paradigme atomistique. Ces deux paradigmes sont opposés dans l’étude de la société. Le paradigme holiste appartient à Émile Durkheim. Pour lui, la société est un tout qui est supérieur à la somme de ses parties. La société préexiste à l’individu et les individus sont gouvernés par elle. Dans le cas du paradigme holiste, l’objet des recherches sociologiques est le fait social. Par contre le paradigme atomistique énonce que l’objet des recherches sociologiques est l’action sociale. En effet, pour Max Weber, chaque individu est un atome social. Des atomes agissent en fonctions de ses intérêts, de motifs, et ils sont liés aux autres atomes. Quand on parle de paradigme atomistique, l’accent est porté sur la recherche des causes des actions sociales.

A la recherche de l’action sociale et de ses causes

Par définition, la sociologie  est la branche des sciences humaines qui cherche à comprendre et à expliquer les comportements des humains qui composent la société. De ce fait, il est également a la recherche de l’action social et de ses causes. Comme il a été dit précédemment, selon le paradigme atomistique, l’action sociale dépend des intérêts des individus qui composent la société. Ces dernières se font donc en fonction des motifs, des intérêts, des émotions des individus. Il se peut également que les actions sociales soient à l’interaction entre les individus de la société. Une action sociale peut être entreprise suite à un accord ou un  entre quelques individus.

Le positivisme social d’Auguste comte

Le positivisme est une doctrine philosophique qui a été crée par Auguste Comte. Il considère que l’homme ne peut atteindre les choses en elle-même et que seuls les faits expérimentés ont une valeur universelle. Il y a eu au début le positivisme scientifique, puis le juridique, ensuite le religieux, enfin, le positivisme logique et le néopositivisme.

Domaines influencés par le positivisme

De nombreuses personnes ont été séduites par le positivisme d’Auguste Comte. De ce fait, de nombreux domaines ont été influencés par cette pensée philosophique. La médecine est le premier domaine qui a subit l’influence du positivisme avec des médecins tels que le Docteur Robinet et le Docteur Claude Bernard. Transmis ensuite à de nombreux philosophes tels que Pierre Laffitte, Ernest Renan et Hippolyte Taine, il a également eu une très grande influence sur le Droit. Cela s’est prouvé par l’existence du  mouvement de positivisme juridique. Outre cela, quelques sociologues ont été influencés par cette mode de pensée de Comte. Le positivisme a également exercé quelques influences comme l’enseignement, l’architecture, la polytechnique, la littérature et la linguistique, la politique, l’histoire ou l’économie par exemple.

Critiques du positivisme

Bien que le positivisme d’Auguste Comte ait influencé de nombreux domaines, il n’a pas pu échapper aux diverses critiques. En effet, le positivisme logique a été critiqué par de nombreux philosophes comme Quine et Karl Popper. Quine, par exemple, a réfuté le réductionnisme de Carnap. Il a ensuite établit une loi nommée : loi « Duhem-Quine ». Cette dernière prétend démontrer qu’une expérience ne peut jamais vérifier une seule proposition, mais un ensemble d’hypothèses. Donc cela signifie que le savoir a toujours un caractère global. De son coté, Karl Popper s’est mis à critiquer l’induction sur lequel repose l’empirisme. Pour lui, une induction faite, à partir d’un compte rendu d’expériences ou des énoncés universels et des théories, n’est pas toujours vraie. Ce qui contredit en quelque sorte le positivisme.

Les Professions et catégories socioprofessionnelles remplacent les CSP

Les PCS ou Professions et Catégories  Socioprofessionnelles indiquent une classification statistique de différents métiers. Il fut autrefois  auparavant connu sous l’appellation CSP ou Catégories Socioprofessionnelles. En effet, le métier exercé par  une personne à son poste de travail permet de définir la PCS. Peut permettre de même son statut social dans l’entreprise, sa position hiérarchique ainsi que la nature de la société où il travaille. Il existe en général 6 classes socioprofessionnelles divisées en 31 catégories qui sont subdivisées en 486 professions.

Comment est construite la nomenclature socioprofessionnelle ?

La nomenclature socioprofessionnelle ne s’agit pas d’un chiffre contraignant. Ce n’est même pas une logique simple. En ce sens, elle est construite à partir d’une synthèse de différents aspects. Par ailleurs, le métier, la classe sociale, la qualification, l’aptitude, le statut, … sont des critères que les statisticiens utilisent afin d’expliquer la structure socioprofessionnelle. Une telle liste est constituée de 3 chiffres dont le premier désigne le groupe socioprofessionnel, le deuxième, la catégorie et  d’un troisième qui indique la profession. Il existe cependant un petit hic qui n’est pas à oublier de nos jours. L’énumération socioprofessionnelle existante, qui fut créée en 1982 et modifiée en 2003, n’est plus très appropriée à la réalité de l’organisation du travail.

Clivages de la nomenclature

La classification des professions et catégories socioprofessionnelles dispose principalement des clivages. Le plus grand clivage se trouve au niveau du statut de la personne.  Soit elle est indépendante, c’est-à-dire toute personne qui gère de droit une firme ou aides familiaux non-salariés. Soit elle est salariée classée dans le groupe socioprofessionnel  ci-après : cadres et professions intellectuelles supérieures, professions intermédiaires, employés et ouvriers. Il est pourtant à noter qu’une personne travailleuse indépendante est à la fois salarié de son entreprise.  Et que les professions libérales, une des catégories socioprofessionnelles des cadres et professions intellectuelles supérieures, sont composées d’indépendants. Bien d’autres petites exceptions sont visibles dans cette nomenclature.  On découvrira entre autre la position professionnelle, la nature de l’employeur, ou encore la qualification des ouvriers.

Qu’elle est la démographie française ?

Le nombre de la population française ne cesse d’augmenter et on remarquera de même sur le solde migratoire. En effet, de nombreuses personnes décident de nos jours  s’installer en France. Sur ce, la démographie française ne cesse donc de bouger et il est tout à fait normal que les chiffres changent tout le temps.

La démographie française et le solde migratoire

La démographie française est une science qui étudie la population française. Cette étude statistique a permis en 2013 de connaitre le nombre exact de la population française. En effet, la France a compté depuis 65,8 millions d’habitants. De nombreux facteurs peuvent expliquer cette augmentation. Il y a par exemple les décès et les naissances. Mais par-dessus tout cela, il y a aussi le solde migratoire qui est devenu le facteur le plus important de la démographie française. Il n’est pas à contester que nombreux sont ceux qui décident de migrer vers l’Europe, plus précisément en France. Les soldes migratoires de la France s’évaluent en 2015 à environ plus de 33000 habitants.

Répartition de la population et  natalité française

D’après la démographie française, on a pu dernièrement remarquer que la population française est mal répartie. Cette mauvaise répartition se localise au niveau de la population entre la métropole et les iles comme La Réunion. En effet, il a été vu que majorité de la population française résidait à la métropole. La démographie française a également permis de connaitre les taux de natalité et les taux de mortalité sur l’Hexagone. Mais comme il a été dit, la hausse du nombre de la population française n’est pas le fruit d’une forte natalité mais d’un solde migratoire très élevé. Le taux de natalité a en effet connu une baisse depuis 2012. Ce n’est pourtant pas le cas du taux de mortalité qui a connu une hausse considérable. Malheureusement, les tendances ne se sont pas encore inversées.

Qu’est-ce que le mouvement de l’existentialisme ?

L’homme est venu sur terre et tout au long de sa vie, il doit suivre un chemin déjà tracé. C’est ce qu’on appelle le  « destin ». Il vit juste pour accomplir une tache précise. Cette manière de pensée est caractéristique de la religion chrétienne. L’existentialisme est contre cette idée.

Qui sont les précurseurs et les développeurs de l’existentialisme ?

L’existentialisme est un courant philosophique qui a été inventé par des philosophes nommés Søren Kierkegaard et Friedrich Nietzsche au XXe siècle. Ce sont en effet ces derniers qui sont considérés comme les précurseurs de l’existentialisme bien qu’ils n’aient jamais utilisé le terme. De nombreux auteurs ont par la suite essayé de développer le sujet. On citera entre autre  Karl  Jaspers, Martin Buber, Léon Chestov. L’existentialisme s’est ensuite répandu dans le monde entier comme en Russie, en France et au Canada. L’étude des philosophes précurseurs de l’existentialisme se rapportait sur divers thèmes comme la peur, l’ennui, la liberté l’engagement et le néant. Ce n’est que bien après que Jean Paul Sartre lui a donné le nom d’existentialisme.

Les concepts de l’existentialisme

En général, l’existentialisme repose sur le fait que l’homme vient au monde sans buts précis et sans valeur.  Seuls ses actes le définissent. Le choix, l’engagement et l’angoisse et l’anxiété sont considérés comme les concepts fondamentaux du courant de l’existentialisme. L’homme devra faire un choix tout au long de sa vie. Il devra en effet choisir la vie qu’il veut entreprendre, le choix étant l’élément distinctif de l’humanité. Pour les existentialistes, l’homme se distingue des objets et des plantes par l’existence de ce choix. Comme  l’homme est libre de faire un choix, il doit se tenir pour responsable de ses choix et de ses actes. Chaque choix nécessite donc un engagement. L’angoisse et l’anxiété sont employées pour qualifier la conscience de la totale liberté de choix a laquelle se confronte a tout instant l’individu.